mino à écrit :Hum, hum… tu sais quoi, sans nom, murmura Mozart à l’oreille de son ami, je vais peut être pouvoir arranger ça…
Il était encore un peu groggy, mais dans la tête, les neurones fonctionnaient encore. Mozart avisa le piano qui se trouvait dans la grande salle, et titubant jusqu’à lui, en ouvrit le couvercle, et découvrit avec ravissement 88 touches noires et blanches étincelantes, qui semblaient lui sourire de toutes leur dents, tant elles n’avaient pas vu le jour depuis une éternité…
Sans Nom le rejoignit prés de l’instrument, et lui dit « mais…. Je n’ai jamais rien vu de pareil, à quoi ça sert, Mozart ?
Ça ? lui répondit l’autre, ça s’appelle un piano et c’est fait pour jouer de la musique ! et je m’y connais !
Et il entama une mélodie dont seul il avait le secret… laissant l’autre domo complètement baba !
Lorsqu’il eût fini, la presque totalité du personnel de l’auberge avait cessé toute activité, pour entendre la divine musique, et applaudit à tout rompre…
Mais comment tu fais ça, demanda Sans Nom ?
Je sais pas…. Je sais que je sais le faire, mais je sais pas comment ! je sais que j’ai commencé il y a bien longtemps…. Je devais avoir peut être 4 ans…
Et de là, l’idée que Mozart avait eu pour surseoir aux frais de la chambre de son ami –et de la bouteille d’hydromel- prit son chemin dans l’esprit de son ami…
Peut être pourrait on attirer BabaYaga ?
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