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En un air mélodieux et cohérent.
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Les petites puces de chien Sautillent sur les lignes noires De la partition pour clavecin Et pour mains d'ivoire
Sur le long chemin de fer Des petits trains turbulents Se coursent et s'affairent A semer leurs poursuivants
A chaque ligne se profilent De curieuses petites clefs Qui cherchent la serrure où s'enfilent Leurs drôles de têtes bouclées
Deci-delà, de petites barres sévères Imposent leur discipline de fer Et rangent tout ce monde insouciant En un air mélodieux et cohérent.
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Commentaires : |
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1. Le mercredi 28 mars 2007 à 09:49, par Siffreine
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Je penserai à ton si joli poème la prochaine fois que j'écouterai Couperin!Je suis sûre qu'il l'aurait apprècié s'il était encore de ce monde..... |
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2. Le mercredi 28 mars 2007 à 18:53, par sahha
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pas facile la musique !Mais tellement agréable à écouter (quand c'est bien joué et que certains trains ne se prnnent pas pour des TGV) |
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3. Le vendredi 6 avril 2007 à 09:37, par soleilenoctobre
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Belles métaphores! |
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