De Frédéric MISTRAL
Emai fuguo duroL’Oulivo, lou ventQué bouffo, is avant,Pament l’amadouroOù pouîn qué counventSi dure que soit,L’olive, le ventQui souffle de l’avant,Ne l’en murit pas moins,Au point qu’il convientFrédéric MISTRALNannie
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