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Esquif d’argile Sur une mer fossile Nuages de plâtre Et soleil d’albâtre
Paysage statufié Par le fusain affûté Paysage sublimé Par son immobilité
Les moissons de la faucheuses Dérobées par des mains calleuses Viennent s’épandre en nombre Sur le sol d’un théâtre d’ombres
Arrachés à l’amnésie collective Des étincelles de souvenirs esquivent L’insidieux étiolement Des iris se fermant
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Commentaires : |
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1. Le samedi 21 octobre 2006 à 17:45, par Siffreine
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Je ne sais que dire.............. |
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2. Le samedi 21 octobre 2006 à 20:17, par barbamama
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Toujours superbe, continue.
C'est Véro43 |
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3. Le dimanche 22 octobre 2006 à 09:18, par sahha
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Oui c'est beau le fusain !Superbe poème ... |
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4. Le dimanche 22 octobre 2006 à 16:12, par soleildoctobre
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;0) |
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5. Le dimanche 22 octobre 2006 à 17:50, par Selkies
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Merci beaucoup, grace à toi le fusain m'évoquera désormais autre chose que l'affiche représentant un dessin de berger allemand tout en langue et en poils dans ma salle d'art plastique |
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6. Le dimanche 22 octobre 2006 à 22:41, par Véro43
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j'aime beaucoup ça ressemble un peu à du Prévert continue surtout je m'en lasse pas. |
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