|
............
|
On ravala la façade d’un château ravagé On ravala la branche d’une famille ravilie On ravauda le ravin de l’oubli avec ravissement Et on ravigota le ravitaillement du ravalement
Les fantômes fanés Les chimères réalisées Les spectres sur lesquels on a trop spéculé Les absents sont toujours absous.
On répara les rêves épars On restaura les restes tordus On corrigea les corps érigés On améliora les âmes liées
Et les livres délivrent Les souvenirs oubliés Mes paroles viennent noircir Des squelettes de papier.
|
Commentaires : |
|
|
1. Le samedi 16 décembre 2006 à 21:19, par pompom
|
|
Très jolie Milorenne, merci |
|
|
|
|
2. Le dimanche 17 décembre 2006 à 08:59, par Siffreine
|
|
continue à les noircir les squelettes de papier, pour notre plaisir à tous! |
|
|
|
|
3. Le dimanche 17 décembre 2006 à 09:56, par rata
|
|
comme dit siffreine, continue |
|
|
|
|
4. Le dimanche 17 décembre 2006 à 11:56, par Véro43
|
|
Joli, merci Milorenne |
|
|
|
|
5. Le dimanche 17 décembre 2006 à 20:19, par shirine
|
|
très jolie poésie,elle me sonne comme une chanson,non? |
|
|
|
|
6. Le dimanche 17 décembre 2006 à 21:54, par soleildoctobre
|
|
Réparer le passé, on le peut? |
|
|
|
|
7. Le lundi 18 décembre 2006 à 07:53, par sahha
|
|
les mots sur les douleurs et les maux servent de pansements ,mais n'effacent pas les cicatrices! |
|
|
|
|
8. Le mardi 19 décembre 2006 à 21:13, par cecile
|
|
C'est une très jolie poésie que tu as écrite. Comme shirine, elle sonne comme une chanson. |
|
|
Ajouter votre commentaire :
Pas de session, vous devez ouvrir une session
pour commenter ici, connectez vous à l'accueil.
|