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N° 5 - Son joyeux, importun d'un clavecin sonore. (Pétrus Borel.)
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Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vaguement, Tandis qu'avec un très léger bruit d'aile Un air bien vieux, bien faible et bien charmant Rôde discret, épeuré quasiment, Par le boudoir longtemps parfumé d'Elle. Qu'est-ce que c'est que ce berceau soudain Qui lentement dorlote mon pauvre être ? Que voudrais-tu de moi, doux chant badin ? Qu'as-tu voulu, fin refrain incertain Qui vas tantôt mourir vers la fenêtre Ouverte un peu sur le petit jardin?
Verlaine
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Commentaires : |
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1. Le lundi 26 juin 2006 à 10:53, par soleildoctobre
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Très doux... |
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2. Le lundi 26 juin 2006 à 19:15, par Siffreine
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c'est tendrement nostalgique! |
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3. Le mardi 27 juin 2006 à 10:31, par sahha
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on se laisse bercer aussi |
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4. Le mardi 4 juillet 2006 à 11:28, par petrus
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ah ben j'aime bien moi, en plus il porte le meme prénom que moi !! merci |
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