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Zoé Fleurentin (1815-1863)
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Sur la lyre tissant mes douces mélodies, Tantôt j'ai fait gronder un hymne à la vertu ; Et tantôt, soupirant, mes lèvres moins hardies Ont tout bas murmuré : " Printemps, que me veux-tu ? "
Restant toujours fidèle à l'essaim de mes rêves, Jamais je n'ai maudit l'extase de l'amour, Ni condamné ceux qui, dans des heures trop brèves, Prononcent des serments qu'ils oublieront un jour.
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Commentaires : |
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1. Le mercredi 18 octobre 2006 à 12:15, par Siffreine
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c'est bien ça le drame! l'oublie..... |
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2. Le mercredi 18 octobre 2006 à 12:18, par Véro43
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Comme tu dis Siff |
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3. Le mercredi 18 octobre 2006 à 15:34, par sahha
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Zoé c'est une fille ou un garçon? C'est rare une fille poètesse,si c'est le cas bravo Rata pour la trouvaille! |
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4. Le mercredi 18 octobre 2006 à 21:40, par Milorenne
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Très joli ce poème. Il y a des poétesses très célèbres Sahha, comme Christine de Pisan, Louise Labbé ou Marie de France |
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5. Le jeudi 19 octobre 2006 à 12:44, par rata
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je sais pas je vais chercher.... |
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6. Le vendredi 20 octobre 2006 à 09:22, par rata
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je trouve pas qui est zoé fleurentin, pas de bio sur internet dsl |
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7. Le dimanche 22 octobre 2006 à 16:05, par soleildoctobre
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Je ne connais ce Poète moi non plus. |
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