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Sous sa cape rouge Il cache son ivresse honteuse Il traverse les ruelles du bouge A la recherche d'une porte chaleureuse
Sous d'une nuit aux allures médiévales Il se faufile entre les échoppes endormies Réveille la horde des exclus du bal Qui dégoulinent sur les pavés du parvis
Il cherche dans ses pensées avinées Le souvenir d'une lumière tiède Du chemin qu'il doit emprunter Pour retrouver l'invisible remède
Qui apaisera sa révolte désespérée De voir tomber les princes et les nantis De faire couronner rois les déshérités De voir la justice triompher
Il noie sa soif de vengeance Dans des torrents de vin sulfureux Les gens d'armes de noble engeance Dans ses rêves ont un regard pour les gueux
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Commentaires : |
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1. Le lundi 4 décembre 2006 à 22:01, par Véro43
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Joli, très beau, bravo Milorenne |
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2. Le lundi 4 décembre 2006 à 22:47, par Siffreine
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cela me fait penser à François Villon.............. |
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3. Le lundi 4 décembre 2006 à 23:15, par soleildoctobre
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Au début, premier vers, j'ai pensé... au Père Noël... Pardon! |
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4. Le mardi 5 décembre 2006 à 08:08, par rata
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pas mal du tout, le style est le m^me , mais le thème a changé, non? |
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5. Le mardi 5 décembre 2006 à 11:50, par sahha
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je ne suis pas certaine que le thème ait changer ,je serai tentee de chanter "non non rien à changer tout tout à continuer!"Mais je surinterprète peut être !Seule l'époque change. |
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