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Dans la fragile robe de soie froissée Elle avance son frêle corps de chair fruitée Sur la scène aux violentes lumières Elle sourit comme une enfant fière
Elle fait flotter ses doigts émaciés Sur sa chanson aux mots sucrés Sa voix se déploie douce et déliée Et endort un temps le feu de ses plaies
Pour toucher ces euphories d'un soir Elle a dû mutiler son nom Sous chaque fois un peu plus de fard Elle a masqué le lourd prix du renom
Quand le rideau se ferme définitivement Sur son triomphe fugace mais fervent Ses peines reviennent à l'assaut de son coeur Et le submergent de sanglantes terreurs
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Commentaires : |
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1. Le lundi 30 avril 2007 à 07:41, par sahha
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c'est une poèsie pour Dalida ? Excuse moi d'avance si j'ai dit une bêtise . |
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2. Le lundi 30 avril 2007 à 08:59, par Siffreine
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La pauvre! c'est triste..... |
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3. Le jeudi 3 mai 2007 à 08:11, par sahha
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ben milorenne pas beaucoup de monde à ta dernière représentation !le public se fait de plus en plus rare ! |
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4. Le dimanche 13 mai 2007 à 13:17, par soleildoctobre
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Emouvant... |
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